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Leslie Caron : Thank Heaven... Leslie Caron - Cinema / Foxoo
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Source : #4900 Publié le 07/03/11 | Vues : 42

Leslie Caron : Thank Heaven... Leslie Caron / Cinema


Leslie Caron : Thank Heaven est une autobiographie écrite par Leslie Caron et traduit de l'américain par Anne-Marie Hussein, édité en mai 2011 aux éditions Baker Street. Dans l'Hollywood de l'après-guerre, Leslie Caron était la quintessence du glamour, du chic et du talent. Dans ces mémoires passionnantes, et très personnelles, elle raconte une vie et une carrière faites de triomphes et de défis.


Née en France d'un père issu de la bourgeoisie aisée française et d'une mère américaine, ses premières années étaient celles d'une enfant privilégiée. Découverte par Gene Kelly alors que, jeune ballerine de 17 ans, elle était à l'aube d'une carrière prometteuse, elle devient sa partenaire dans le film aujourd'hui mythique, Un Américain à Paris, en 1951. Propulsée dans le monde luxueux et désinvolte des stars, tout juste sortie de l'univers fait de privations imposé par la guerre, elle ne se sent pas tout à fait à l'aise avec l'insouciance d'Hollywood.

De retour en Europe, elle épouse Peter Hall, brillant metteur en scène anglais, mais découvre assez vite que les rôles d'actrice et d'épouse ne sont pas toujours conciliables. Elle change alors de cap et mène une carrière au cours de laquelle elle défend, sans relâche, un certain esprit d'indépendance. On retrouve malgré tout dans ce récit le thème de la précarité qui domine toute carrière d'acteur.

On y trouve aussi, tracée d'une plume lucide, alerte et subtile, une galerie de portraits riches et nuancés de ses proches et de ses collaborateurs, qui avaient pour nom Jean Renoir, son mentor, François Truffaut, qu'elle admirait, Rudolph Noureev, dont elle était très proche, René Clément, Judy Garland, Fred Astaire, Cary Grant, Orson Welles, Warren Beatty, avec qui elle a eu une liaison de plusieurs années, et bien sûr Gene Kelly.

Se dessine l'image d'une actrice qui a connu de grandes joies ', ses deux nominations aux Oscars, l'une pour Lili, l'autre pour La Chambre indiscrète ', mais aussi des déceptions. C'est le portrait d'une femme courageuse qui, après une période de doutes et de dépression, s'est tournée résolument vers l'avenir pour se replonger avec bonheur dans sa vie d'actrice, comme l'atteste le triomphe qu'elle a récemment remporté dans A Little Night Music de Stephen Sondheim, rôle qu'elle reprendra durant la saison 2012-13 sur la scène du Théâtre National du Châtelet.

Révélée par Gene Kelly dans Un Américain à Paris, et sous contrat avec la MGM, Leslie Caron devient, très jeune, l'héroïne de nombreuses comédies musicales, dont Gigi, la plus célèbre, qui a remporté de nombreux Oscars. Elle réoriente sa carrière à la fin des années 1960, et on lui attribuera dès lors des rôles plus dramatiques. Elle apparaitra aussi dans quelques superproductions, comme Paris brûle-t-il ? de René Clément, en 1966, ou dans des films plus intimistes, comme L'Homme qui aimait les femmes de François Truffaut, en 1977.

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